Survoler la canopée à bord d’un vélo volant
Durant mes courtes vacances en Estrie, j’ai essayé une activité qui figurait sur ma liste depuis longtemps : le VéloVolant. Ça se passe à la station de plein-air Au Diable Vert dans la région de Sutton. Il n’existe que trois parcours de ce genre dans le monde, celui de l’Estrie étant le plus haut.
Éloge de la lenteur
Malgré le ciel nuageux et des probabilités d’averses assez élevées, je voulais absolument tenter de faire cette activité. Lorsque mon amie et moi sommes sorties de notre chambre de motel et qu’une bonne averse s’est abattue sur nous, ça m’a un peu découragée, mais je me suis dit que la pluie pourrait peut-être cesser d’ici notre arrivée au Diable Vert (elle ne s’est jamais arrêtée, mais elle est heureusement devenue plus fine). Et bonne nouvelle : le vélo volant avait un petit toit pour nous protéger!

Après avoir regardé une courte vidéo explicative, nous avons pris place à bord de notre engin. La vidéo mentionnait que le trajet était de 1 km et on nous recommandait d’aller très lentement pour le parcourir, en prenant des pauses de temps en temps.
Les premiers mètres, nous n’étions pas si hauts. Toutefois, sans qu’on s’en rende compte, nous avons monté graduellement. Il ne faut vraiment pas avoir le vertige!



L’activité est facile; il n’est pas nécessaire de fournir un effort pour avancer. Nous avons vraiment pris notre temps, de sorte que nous avons mis presque une heure pour effectuer la boucle et revenir à notre point de départ. J’ai adoré, c’est très « zen » comme activité!
Si j’avais à y retourner, j’essaierais d’y aller en automne lorsque les feuilles des arbres changent de couleur. Ça doit être magnifique!
Ce que ça prend : rien de particulier.
Ce que ça coûte : 50$ par adulte et 35$ par enfant de 12 à 16 ans.
Points positifs : l’obligation d’aller lentement, qui nous permet de profiter pleinement de l’expérience!
Points négatifs : aucun.